M. Lazzarini a fait ces remarques dans les médias sociaux postedans lequel il a noté que le siège, qui empêche les aliments, les médicaments, l’eau et le carburant d’entrer dans le territoire palestinien occupé, a duré plus longtemps que les blocages imposés au cours de la première phase de la guerre.
Le Unrwa Le chef a souligné que les habitants de Gaza dépendent des importations via Israël pour leur survie. «Chaque jour qui passe sans l’entrée d’aide signifie que plus d’enfants se mettent à coucher, les maladies se propageant et la privation s’approfondit.» Gaza, a-t-il ajouté, se rapproche d’un crise de la faim aiguë.
Le conflit actuel a commencé après les attaques dirigées par le Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Lors de ces attaques, 1 195 personnes ont été tuées en Israël et plus de 250 otages. Dans les opérations militaires ultérieures à Gaza, au moins 50 000 Palestiniens auraient été tués.
Après un bref cessez-le-feu, au cours de laquelle plusieurs otages ont été libérés en échange de prisonniers palestiniens détenus en Israël, une campagne de bombardement et une opération au sol contre Gaza ont repris. Depuis lors, des centaines de civils, dont des enfants, ont été tués.
Sam Rose, UNRWA, directeur des affaires par intérim dans l’Enclave, a averti vendredi que, si le cessez-le-feu n’est pas restauré, cela conduira à «Des pertes à grande échelle, des dommages aux infrastructures et aux biens, un risque accru de maladies infectieuses et un traumatisme massif pour un million d’enfants et pour les deux millions de civils qui vivent à Gaza.»
Décrivant l’interdiction de l’aide comme une «punition collective» sur la population de Gaza, «les enfants, les femmes et les hommes ordinaires», M. Lazzarini, a demandé que le siège soit soulevé, pour que le Hamas divulgue les otages restants et les fournitures humanitaires et les fournitures commerciales à amener à Gaza sans interruption et à l’échelle humanitaire.
———-
First published in this link of The European Times.